Hors de question d'abandonner le projet "Cap sur 100 000 tonnes de bananes d'ici 2020"
Par Anaelle EDOM
26/09/2016 - 21:52
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:19
Guadeloupe
Pour le groupement des producteurs de bananes et la collectivité régionale, il n'est pas imaginable de laisser en sommeil le dossier "Cap sur 100 000 tonnes de bananes d'ici 2020". A la clé, il y aurait 500 emplois jeunes. Ce lundi 26 septembre 2016, les produteurs et la Région ont donc réaffirmé la nécessité d'obtenir les quotas indispensables pour la mise en œuvre du projet.
Les producteurs de bananes et la Région sont sur la même longueur. Il
n'est pas concevable de laisser en suspend le dossier "Cap
100 00 tonnes de bananes d'ici 2020".
Plus encore, il serait inenvisageable de priver la Guadeloupe des 500 emplois, qui devraient être mis en place grâce à ce projet.
"Il y a des emplois jeunes à la clé, cela concerne les moins de 25 ans. Cela fait 350 emplois indirects. Quand je parle d'emplois indirects, je parle des transporteurs, des vendeurs", souligne Francis Lignière, le président du groupement des producteurs de bananes.
Cet argument est aussi celui de Marie-Luce Penchard, la vice-présidente de la collectivité régionale. Elle veut, coûte que coûte, faire entendre à la Commission européenne que cette affaire représente un enjeu majeur pour l'économie guadeloupéenne.
Plus encore, il serait inenvisageable de priver la Guadeloupe des 500 emplois, qui devraient être mis en place grâce à ce projet.
"Il y a des emplois jeunes à la clé, cela concerne les moins de 25 ans. Cela fait 350 emplois indirects. Quand je parle d'emplois indirects, je parle des transporteurs, des vendeurs", souligne Francis Lignière, le président du groupement des producteurs de bananes.
Cet argument est aussi celui de Marie-Luce Penchard, la vice-présidente de la collectivité régionale. Elle veut, coûte que coûte, faire entendre à la Commission européenne que cette affaire représente un enjeu majeur pour l'économie guadeloupéenne.
