Agression filmée : La gendarmerie a auditionné les protagonistes
Par Anaelle EDOM
07/01/2016 - 13:38
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:26
Guadeloupe
Les auteures et la victime de l'agression filmée à Sainte-Rose ont été auditionnés le mercredi 6 janvier 2015. Un magistrat devrait examiner le dossier ce jeudi.
Les auteures et la victime de l’agression filmée à Sainte-Rose, ayant fait
le buzz sur les réseaux sociaux en début de semaine, ont été auditionnés
le mercredi 6 janvier 2016, a indiqué la gendarmerie des îles de
Guadeloupe et des îles du nord via une
publication Facebook mercredi.
Dans cette affaire, aucune décision judiciaire n'a été prise pour l'instant. Un magistrat devrait examiner le dossier ce jeudi 7 janvier 2016. Selon nos sources, les trois adolescentes se seraient réconciliées le soir de l’agression. Elles seraient même allées à une soirée ensemble.
Toutefois, ces informations doivent être confirmées. En effet, les enquêteurs veulent écarter toute forme de pression de la part des auteures sur la victime. Des vidéos montrant une jeune fille d’environ 12 ans - ruée de coups par deux autres adolescentes du même âge - ont fait le buzz sur les réseaux sociaux en début de semaine.
Dès le mardi 5 janvier 2016, ces publications avaient interpellé la population ainsi que Claudine Bajazet, la maire de Sainte-Rose. Des groupes WhatsApp et Facebook appelant à des représailles contre les mises en cause avaient, d’ailleurs, été créés. Les protagonistes ont été rapidement identifiés.
Dans cette affaire, aucune décision judiciaire n'a été prise pour l'instant. Un magistrat devrait examiner le dossier ce jeudi 7 janvier 2016. Selon nos sources, les trois adolescentes se seraient réconciliées le soir de l’agression. Elles seraient même allées à une soirée ensemble.
Toutefois, ces informations doivent être confirmées. En effet, les enquêteurs veulent écarter toute forme de pression de la part des auteures sur la victime. Des vidéos montrant une jeune fille d’environ 12 ans - ruée de coups par deux autres adolescentes du même âge - ont fait le buzz sur les réseaux sociaux en début de semaine.
Dès le mardi 5 janvier 2016, ces publications avaient interpellé la population ainsi que Claudine Bajazet, la maire de Sainte-Rose. Des groupes WhatsApp et Facebook appelant à des représailles contre les mises en cause avaient, d’ailleurs, été créés. Les protagonistes ont été rapidement identifiés.
