Le calvaire de Patricia : elle vivait avec deux dents de barracuda dans le pied

Par 02/09/2019 - 13:57 • Mis à jour le 03/09/2019 - 11:26

Le 5 janvier dernier, Patricia Kancel a été mordue par un barracuda alors qu’elle prenait un bain de mer à Sainte Anne. Par la suite, elle sera opérée en urgence et deux dents du poisson, seront extraites de son pied. L’histoire aurait pu s’en tenir là, seulement voilà, les semaines passent et Patricia continue à souffrir. Une douleur qui va en s’amplifiant.

    Le calvaire de Patricia : elle vivait avec deux dents de barracuda dans le pied

Le 5 janvier dernier, Patricia Kancel a été mordue par un barracuda alors qu’elle prenait un bain de mer à Sainte Anne. Par la suite, elle sera opérée en urgence et deux dents du poisson, seront extraites de son pied. L’histoire aurait pu s’en tenir là, seulement voilà, les semaines passent et Patricia continue à souffrir. Une douleur qui va en s’amplifiant. Patricia est persuadée qu’il y a un corps étranger dans son pied.

Bien qu’ayant effectué divers échographies et examens médicaux, nul ne semble, selon elle, trouver une solution à son problème.

Elle demande l’aide de plusieurs médecins, interroge des pêcheurs et lance des appels à ceux qui ont déjà été eux aussi victimes d’un barracuda. 

Opérée en urgence à Paris

Patricia qui souffre toujours, finit par partir à Paris, où après des examens, elle est opérée en urgence dans un établissement spécialisé dans le traitement du pied le 13 août dernier.

Désormais suivie par un spécialiste du pied, on lui découvre en effet, deux autres dents de barracuda restées dans la chair.

Selon Patricia Kancel, un autre corps étranger a été retrouvé dans son pied. Il pourrait,selon le spécialiste, s’agir d’un objet que le poisson aurait laissé dans sa peau lors de la morsure.

Des examens complémentaires ont été commandés pour trouver l’origine et la composition exacte de ce corps étranger.

Depuis, Patricia Kancel a pu rentrer en Guadeloupe mais elle doit désormais s’engager dans une longue rééducation. Le traumatisme physique devrait s’atténuer au fil des mois mais la femme se dit encore très éprouvée moralement par ces mois de calvaire.