Le financement du plan d’urgence pour l'eau adopté

Par 01/02/2018 - 15:44 • Mis à jour le 18/06/2019 - 14:01

Des décisions ont été prises lors de la CTAP (Conférence Territoriale de l'Action Publique) de ce jeudi 1er février, sur le financement du programme d'actions prioritaires en matière d'eau potable.

    Le financement du plan d’urgence pour l'eau adopté

Le point sur la gestion de l'eau à l'hôtel de Région à Basse-Terre ce jeudi matin, a donc permis d'arrêter le financement du plan d'actions de 71,4 M€. Il était d'ores et déjà acquis que la collectivité régionale abonderait à hauteur de 30 millions d'euros. Restait à connaitre la part du conseil départemental et des EPCI. Eh bien, le départemental mettra 20 millions d'euros au pot et les communautés d’agglomération de communes donneront 5 millions d'euros. L'Etat de son côté devra sortir 7,7 millions d'euros alors que le reste, tout de même 8,772 millions d'euros, va dans la case "autres". Cela correspondait en réalité à un financement déjà fléché. 

 D'autres points actés

Le groupe Eau de la CTAP, qui regroupe les techniciens de la Région, du département et des communautés d'agglos est missionné pour assurer le suivi de la mise en oeuvre du plan d'action prioritaires, définir les actions qui relèvent du plan pluriannuel d'actions et d'investissements sur l'eau potable et l'assainissement. 

 Et la gouvernance ?

La question de la gouvernance est renvoyée à plus tard. Dans le relevé de décision, le sujet est bel et bien abordé mais il est mentionné  qu'il s'agit de "poursuivre les réflexions sur la gouvernance"