Bon décollage pour la haute saison touristique

Par 28/12/2017 - 17:00 • Mis à jour le 18/06/2019 - 14:07

Avions et hôtels presque complets : la haute saison 2018 prend un bon départ !

    Bon décollage pour la haute saison touristique

Un vent d'optimisme souffle sur ce début de haute saison touristique.  Pour les vacances de fin d'année,  traditionnellement le premier test de l'attractivité de la destination Martinique,  les hôtels et hébergements de tourisme affichent quasi complets.  Toutes les catégories d'hôtels, du standard au haut de gamme, bénéficient de l'embellie, avec des taux de remplissage de 80 pourcent. 

Les visiteurs arrivent en masse depuis la mi-décembre!

8000 passagers ont été enregistrés à l'arrivée,  chaque weekend de ce mois.  Des touristes qui quittent l'hexagone et d'autres pays d'Europe pour venir chercher le soleil et la chaleur des tropiques pour clore l'année 2017.  Les chiffres de l'aéroport Aimé Césaire l'attestent.  Après avoir atteint la barre des 1,8 millions de passagers l'an dernier,  le trafic aérien est en augmentation de 3,5 pourcent en 2017. Certes les vols transatlantiques entre Paris et Fort-de-France sont pleins en ce moment, mais les bons chiffres sont aussi dus au succès des liaisons aériennes directes avec les Etats-Unis et l'Allemagne.

La croisière également a le sourire !

La saison de la croisière a démarré tambour battant, dès le mois de septembre.  Elle est à son pic et le restera encore de longues semaines, avec jusqu'à 5 paquebots jetant l'ancre le même jour.  Le 14 décembre dernier, jour d'exception, notre île a accueilli 8 paquebots.  Les escales sont diversifiées, les bateaux s'arrêtent à Fort-de-France mais aussi au Marin, aux Anses-d’Arlet, aux Trois-Ilets et à Saint-Pierre. Pour cette saison exceptionnelle 2017-2018,  363 escales sont prévues en Martinique, cela représente plus de 693 000 passagers.  Officiellement la saison de la croisière s'achèvera fin avril,  mais il restera encore quelques escales en mai, et une dernière hors saison en juillet.  Seul bémol à l'optimisme ambiant, la critique émise par les chauffeurs de taxis de place.  Ils disent avoir encore du mal à tirer leur épingle du jeu certains jours, quand il faut négocier pied à pied avec le client pour le tarif des excursions.