Ferdinand Mélien Soucramanien, professeur de droit public, était l'invité de la rédaction
Au lendemain des rencontres entre le président de la République et les signataires de l'appel de Fort-de-France, Jean-Marc Pulvar reçoit Ferdinand Mélien Soucramanien, constitutionnaliste et président du nouvel institut national du service public (ex-ENA).
Après l’appel de Fort-de-France lancé en mai dernier par les exécutifs de Mayotte, Saint Vincent, Martinique, Guadeloupe, Guyane et Saint Martin, les signataires ont été reçus à Paris mercredi.
C’était pour eux l’occasion d’expliquer au chef de l’état et aux membres du gouvernement leurs doléances pour faire avancer d’énormes chantiers dans les Outre-mer. Le pouvoir d’achat, la sécurité, le dossier de la chlordécone, et d'autres outils de développement ont alimenté les débats.
Il appartiendra maintenant à ces élus d’expliquer dans chaque territoire leur démarche avant de lancer ce vaste chantier.
Ce vendredi matin, l'invité de la rédaction revient sur ces séances de travail et sur la légitimité des exécutifs des Outre-mer à s’inscrire dans cette démarche. Ferdinand Mélin Soucramanien est constitutionnaliste, professeur de droit public et président du nouvel institut national du service public. Il était au micro de Jean-Marc Pulvar à 7 h 30.
Ecoutez son interview :
