Généalogie, à chacun son histoire !

Par 29/07/2015 - 17:09 • Mis à jour le 18/06/2019 - 15:33

La généalogie s'invite chaque mercredi du mois de juillet aux archives départementales de la Martinique; un sujet plus que jamais d’actualité à l'heure où de nombreuses personnes cherchent à constituer leur arbre généalogique.

    Généalogie, à chacun son histoire !
Depuis le début du mois de juillet, chaque mercredi après-midi, les archives départementales ouvrent leurs portes aux personnes qui souhaitent constituer leur arbre généalogique. A cet effet, plusieurs modules complémentaires sont mis en place afin de donner aux stagiaires les outils nécessaires au bon déroulement de leurs recherches mais également pour se perfectionner dans la pratique d’un logiciel de généalogie.

« C’est un programme qu’on offre au grand public et en particulier à toutes les personnes qui souhaitent retrouver les traces de leurs ancêtres et s’initier à la généalogie car ce n’est pas quelque chose de simple à mener et il faut avoir des outils et des repères pour pouvoir mener à bien ces recherches là.» explique Magalie Claveau, responsable de l’action culturelle et éducative aux archives départementales.

« On a voulu ces ateliers comme une forme de progression, comme un programme qui permet d’avoir des outils en main, aussi bien des connaissances historiques que des connaissances très pratiques.» a t-elle complété.

Les ateliers en question sont animés par des professionnels ou encore des passionnés, à l’image de Jean-François Sivatte bénévole de la SAA (Société des Amis des Archives) «On nous a demandé de faire une sensibilisation auprès du public. L’outil qu’on présente aujourd’hui c’est l’outil de saisie c'est-à-dire qu’une fois qu’on a fait toutes ses recherches avec les méthodes traditionnelles, son arbre sur papier, il est intéressant de pouvoir le poser sur un outil informatique qui sera capable de traiter toutes les subtilités de nos familles et qui nous permettra de sécuriser ces données et les présenter sur différents tableaux. C’est un travail qui arrive en second lieu.» explique ce passionné de généalogie.